Marah Haj Hussein

automne '24 - Language: no broblem

Language: no broblem passe d’une langue à l’autre, d’une géographie à l’autre, d’une voix à l’autre et d’une imagination à l’autre, et constitue une tentative d’exploration du multilinguisme.

L’histoire se déroule au cours d’un voyage en train contemplatif mais étrange à travers la Belgique, où la protagoniste rencontre des voyageurs intrigants. Son histoire personnelle se mêle à celle de ses proches vivant sous l’occupation. Leurs voix parlent de leur rapport à l’arabe palestinien, leur langue maternelle, par rapport à l’hébreu, la langue officielle de leur ville natale. Comment ces deux langues s’entremêlent-elles dans l’esprit d’une personne vivant dans un environnement oppressif? Comment leur incarnation peut-elle façonner notre compréhension des frontières et des déplacements?

Avec humour, colère, amour et absurdité, Language: no broblem embrasse les limites de la traductibilité d’une langue tout en réfléchissant aux processus de résistance.

de / avec

concept et performance : Marah Haj Hussein
son : Anton Lambert
projection mapping : Koen de Saeger & Hussein Shikha
dramaturgie : Krystel Khoury
scénographie : Agnese Forlani
création lumière : Pol Seif
technique : Koen de Saeger
coproduction : Monty & Moussem Centre Nomade des Arts
avec le soutien de: Het TheaterFestival et Fonds voor nieuwe makers de la Ville d’Anvers.
Merci à : Kaaitheater, Toneelhuis, Kunstcentrum BUDA, A Two Dogs Company, DeSingel, hetpaleis, Thomas Bellinck, Barakat Haj, Lubna Haj, Luna Haj, Hala Haj, Sari Haj, Moanes Fahoum, Anan Saadi, Fadia Shehadeh et Hashem Shehadeh.

Language: no broblem passe d’une langue à l’autre, d’une géographie à l’autre, d’une voix à l’autre et d’une imagination à l’autre, et constitue une tentative d’exploration du multilinguisme.

L’histoire se déroule au cours d’un voyage en train contemplatif mais étrange à travers la Belgique, où la protagoniste rencontre des voyageurs intrigants. Son histoire personnelle se mêle à celle de ses proches vivant sous l’occupation. Leurs voix parlent de leur rapport à l’arabe palestinien, leur langue maternelle, par rapport à l’hébreu, la langue officielle de leur ville natale. Comment ces deux langues s’entremêlent-elles dans l’esprit d’une personne vivant dans un environnement oppressif? Comment leur incarnation peut-elle façonner notre compréhension des frontières et des déplacements?

Avec humour, colère, amour et absurdité, Language: no broblem embrasse les limites de la traductibilité d’une langue tout en réfléchissant aux processus de résistance.

performance / une production moussem