Vernissage : 18 mars 2023, 15h00-20h00
Exposition : 18 mars – 22 avril 2023
+ Ouverture sur rendez-vous : info@v2vingt.net
L'exposition solo de Badi Rezzak, Les Jardins de Malika, évoque la tendresse et la quête d'identité à travers le déplacement. Composée de vocabulaires visuels qui font le lien entre le pictural et le décoratif, comprenant des contours organiques et des motifs géométriques, des atmosphères tonales et des perspectives linéaires, l'installation rassemble à la fois des œuvres anciennes et récentes. Peuplées de formes stylisées et de plantes fleuries aux allégories orientalistes, les œuvres nous plongent dans un jardin fictif préservé de la violence du quotidien. Enracinées dans son retour en Algérie - son désert, heimat de son père, et la Kabylie, lieu de repos de sa mère - les œuvres de Rezzak invitent leur public à participer au même processus de refiguration et de reconnaissance de sa propre position dans les récits personnels, historiques et imaginaires. L'étreinte affectueuse des ornements orientalistes et des contours itinérants de Rezzak est donc un rappel de notre monde à la fois petit et vaste et des ondulations de la diaspora et du foyer, où qu'il se trouve.
Cette exposition a été réalisée en collaboration avec Moussem et Mosso, curatée par Estelle Lecaille et Aude Tournaye, et réalisée grâce au soutien de la fédération Wallonie Bruxelles.
L'artiste a collaboré avec Aide menée par Lola Martins-Coignus pour la production du projet.
Vernissage : 18 mars 2023, 15h00-20h00
Exposition : 18 mars – 22 avril 2023
+ Ouverture sur rendez-vous : info@v2vingt.net
L'exposition solo de Badi Rezzak, Les Jardins de Malika, évoque la tendresse et la quête d'identité à travers le déplacement. Composée de vocabulaires visuels qui font le lien entre le pictural et le décoratif, comprenant des contours organiques et des motifs géométriques, des atmosphères tonales et des perspectives linéaires, l'installation rassemble à la fois des œuvres anciennes et récentes. Peuplées de formes stylisées et de plantes fleuries aux allégories orientalistes, les œuvres nous plongent dans un jardin fictif préservé de la violence du quotidien. Enracinées dans son retour en Algérie - son désert, heimat de son père, et la Kabylie, lieu de repos de sa mère - les œuvres de Rezzak invitent leur public à participer au même processus de refiguration et de reconnaissance de sa propre position dans les récits personnels, historiques et imaginaires. L'étreinte affectueuse des ornements orientalistes et des contours itinérants de Rezzak est donc un rappel de notre monde à la fois petit et vaste et des ondulations de la diaspora et du foyer, où qu'il se trouve.
