A in the role of B, when C didn’t make it dévoile un réseau caché d’interactions des acteurs sur scène : lorsque le quatuor tente de brosser le tableau des conséquences historiques et professionnelles de leurs liens mutuels, ils se heurtent au contraire à une déconnexion profonde. Des déambulations à travers le paysage théâtral iranien permettent à ces hommes – un danseur, un acteur, un écrivain et un metteur en scène – de partager le plateau qui semble être la seule chose qui les unisse, malgré et au-delà de toutes les divergences.
Ehsan Hemat, né à Shiraz et basé à Bruxelles depuis plusieurs années, a imaginé un concept dans lequel différentes générations se rencontrent sur scène. Pour ce projet, il a entre autres invité son oncle Asghar : un acteur iranien de formation classique qui, en tant que septuagénaire, représente un tout autre état d’esprit que celui de son neveu qui vit et travaille désormais en Belgique. Ainsi, la production devient un reflet du temps – des évolutions par opposition aux traditions dans les arts –, mais aussi de la vie en général.
production : Moussem Nomadic Arts Centre
co-production : KVS, C-Takt, NTGent
avec le soutien de : laGeste et le Gouvernement Flamand
concept & mise en scène : Ehsan Hemat - en collaboration avec Keyvan Sarreshteh et Ali Asghar Dashti
performance : Asghar Hemmat, Ehsan Hemat, Ali Asghar Dashti, Keyvan Sarreshteh.
vidéo : Julie De Clercq
conception lumière : Marco Bertozzi
son : Roeland Luyten
photo : Rojin Delfan
A in the role of B, when C didn’t make it dévoile un réseau caché d’interactions des acteurs sur scène : lorsque le quatuor tente de brosser le tableau des conséquences historiques et professionnelles de leurs liens mutuels, ils se heurtent au contraire à une déconnexion profonde. Des déambulations à travers le paysage théâtral iranien permettent à ces hommes – un danseur, un acteur, un écrivain et un metteur en scène – de partager le plateau qui semble être la seule chose qui les unisse, malgré et au-delà de toutes les divergences.
Ehsan Hemat, né à Shiraz et basé à Bruxelles depuis plusieurs années, a imaginé un concept dans lequel différentes générations se rencontrent sur scène. Pour ce projet, il a entre autres invité son oncle Asghar : un acteur iranien de formation classique qui, en tant que septuagénaire, représente un tout autre état d’esprit que celui de son neveu qui vit et travaille désormais en Belgique. Ainsi, la production devient un reflet du temps – des évolutions par opposition aux traditions dans les arts –, mais aussi de la vie en général.