Autour de la table de travail prennent place :
la jeune actrice Btissame Bourrich
l’actrice russe Evgenia Brendes
la comédienne française Olga Mouak
l’acteur et auteur palestinien Atta Nasser
le directeur artistique de la compagnie Kloppend Hert Haider Al Timimi
le danseur et chorégraphe marocain Youness Khoukhou
le danseur et acteur brésilien Gustavo Vieira
les membres de tg STAN Jolente De Keersmaeker et Frank Vercruyssen
Autour de cette table – sur laquelle, des semaines durant, se sont empilés des poèmes, des romans et des pièces de théâtre –, ils construisent une histoire commune dont les fondements sont, entre autres, les dialogues du comédien anglais Dennis Kelly, un grondement sourd qui exprime le sentiment de malaise de notre société au-dessus duquel s’élèveront des voix comme celle de personnages de l’écrivain égyptien Alaa El Aswani. Ils parlent de corruption, du carcan économique, social et religieux dans lequel ils sont enfermés. Les voix s’entremêlent à des textes du poète palestinien Mahmoud Darwish ou de l’auteur dramatique syrien Saadallad Wannous, des flambées d’espoir sauvage et en même temps des expressions d’impuissance collective.
Move (on) est une chorégraphie de corps et de textes. La pièce part en quête d’interfaces entre les univers intérieurs et leur extériorisation, le point de friction entre l’individu et le groupe.
By and with
Btissame Bourrich, Evgenia Brendes, Jolente De Keersmaeker, Olga Mouak, Haider Al Timimi, Issam Dakka, Youness Khoukhou en Frank Vercruysse
Production
tg STAN
Coproduction
Kloppend Hert, Moussem, Toneelhuis, Vooruit
Autour de la table de travail prennent place :
la jeune actrice Btissame Bourrich
l’actrice russe Evgenia Brendes
la comédienne française Olga Mouak
l’acteur et auteur palestinien Atta Nasser
le directeur artistique de la compagnie Kloppend Hert Haider Al Timimi
le danseur et chorégraphe marocain Youness Khoukhou
le danseur et acteur brésilien Gustavo Vieira
les membres de tg STAN Jolente De Keersmaeker et Frank Vercruyssen
Autour de cette table – sur laquelle, des semaines durant, se sont empilés des poèmes, des romans et des pièces de théâtre –, ils construisent une histoire commune dont les fondements sont, entre autres, les dialogues du comédien anglais Dennis Kelly, un grondement sourd qui exprime le sentiment de malaise de notre société au-dessus duquel s’élèveront des voix comme celle de personnages de l’écrivain égyptien Alaa El Aswani. Ils parlent de corruption, du carcan économique, social et religieux dans lequel ils sont enfermés. Les voix s’entremêlent à des textes du poète palestinien Mahmoud Darwish ou de l’auteur dramatique syrien Saadallad Wannous, des flambées d’espoir sauvage et en même temps des expressions d’impuissance collective.
Move (on) est une chorégraphie de corps et de textes. La pièce part en quête d’interfaces entre les univers intérieurs et leur extériorisation, le point de friction entre l’individu et le groupe.