Le griot Ballaké Sissoko est issu d’une famille de maîtres du kora, harpe-luth à 21 cordes d’origine mandingue. Ballaké Sissoko a intégré à 13 ans l’Ensemble Instrumental National du Mali, dont son père a été membre-fondateur et directeur. Devenu depuis un instrumentiste très sollicité, il multiplie les performances en solo ou aux côtés d’artistes comme Toumani Diabaté, Taj Mahal, Ludovico Einaudi et Vincent Segal. Il doit sa réputation internationale au raffinement et à la complexité de son jeu et à son talent d’improvisation inégalé.
Göksel Baktagir, autre prodige de la musique et compositeur prolifique, a dans l’intervalle réalisé plus de 400 œuvres. Il a parcouru le monde et est l’un des virtuoses du qanun de Turquie, instrument dont il teste les possibilités et limites dans son jeu et l’ouvre à des styles comme le jazz et le new age. Une soirée lors de laquelle deux mondes musicaux se retrouvent et entrent en dialogue.
Dans le cadre de la série de concerts Qanun Dialogues
قانون (Qanun) veut dire « loi » en arabe. L’instrument fut baptisé ainsi, car il donne dans les ensembles traditionnels la note des autres instruments et du chanteur. Le qanun date du 10e siècle au moins et est originaire du Moyen-Orient, mais se joue également au Maghreb, en Afrique de l’Ouest, en Asie centrale et dans le sud-est de l’Europe. L’instrument en bois, de forme trapézoïdale, composé de 78 cordes, joue aujourd’hui encore un rôle essentiel dans le monde de la musique classique arabe et turque. Moussem et BOZAR présentent cette saison de grands joueurs de qanun en ensemble, en duo et en solo.
Le griot Ballaké Sissoko est issu d’une famille de maîtres du kora, harpe-luth à 21 cordes d’origine mandingue. Ballaké Sissoko a intégré à 13 ans l’Ensemble Instrumental National du Mali, dont son père a été membre-fondateur et directeur. Devenu depuis un instrumentiste très sollicité, il multiplie les performances en solo ou aux côtés d’artistes comme Toumani Diabaté, Taj Mahal, Ludovico Einaudi et Vincent Segal. Il doit sa réputation internationale au raffinement et à la complexité de son jeu et à son talent d’improvisation inégalé.
Göksel Baktagir, autre prodige de la musique et compositeur prolifique, a dans l’intervalle réalisé plus de 400 œuvres. Il a parcouru le monde et est l’un des virtuoses du qanun de Turquie, instrument dont il teste les possibilités et limites dans son jeu et l’ouvre à des styles comme le jazz et le new age. Une soirée lors de laquelle deux mondes musicaux se retrouvent et entrent en dialogue.
Dans le cadre de la série de concerts Qanun Dialogues
قانون (Qanun) veut dire « loi » en arabe. L’instrument fut baptisé ainsi, car il donne dans les ensembles traditionnels la note des autres instruments et du chanteur. Le qanun date du 10e siècle au moins et est originaire du Moyen-Orient, mais se joue également au Maghreb, en Afrique de l’Ouest, en Asie centrale et dans le sud-est de l’Europe. L’instrument en bois, de forme trapézoïdale, composé de 78 cordes, joue aujourd’hui encore un rôle essentiel dans le monde de la musique classique arabe et turque. Moussem et BOZAR présentent cette saison de grands joueurs de qanun en ensemble, en duo et en solo.