« Ceux qui me connaissent découvriront qu’en fait ils ne connaissent pas vraiment ; ceux qui ne me connaissent pas encore maudiront le jour où ils m’ont rencontrée », prévient Hanane Hajj-Ali d’entrée de jeu.
Hanane Hajj-Ali est une des figures les plus marquantes et les plus provocatrices du théâtre libanais. Le monologue de cette actrice, épouse et mère qui a dépassé la cinquantaine et fait son jogging quotidien pour combattre l’ostéoporose, l’obésité et la dépression, entraîne le spectateur dans les rues de Beyrouth et le plonge dans ses rêves, ses désirs, ses désillusions à travers tous les personnages qu’elle incarne.
Le rituel du jogging quotidien a des effets contradictoires. Sur toile de fond d’une ville qui détruit pour reconstruire et reconstruit pour détruire à nouveau, les deux hormones libérées par l’exercice du sport, la dopamine et l’adrénaline, ont des effets alternativement destructifs et constructifs.
Le texte aux multiples lectures de Hanane Hajj-Ali traite avec la même audace de sujets personnels et politiques.
Co-production:
AFAC – The Arab Fund for Arts and Culture
In cooperation with: Heinrich Böll Stiftung - MENA Office (Beirut), Embassy of Switzerland in Beirut, The British Council
Support: SHAMS Association, Collectif Kahraba, Al Mawred Al Thaqafy (Culture Resource), Moussem (BE), Zoukak / Focus Liban 2016, artasfoundation, l’Institut Français du Liban, VATECH, Khalil Wardé SAL.
« Ceux qui me connaissent découvriront qu’en fait ils ne connaissent pas vraiment ; ceux qui ne me connaissent pas encore maudiront le jour où ils m’ont rencontrée », prévient Hanane Hajj-Ali d’entrée de jeu.
Hanane Hajj-Ali est une des figures les plus marquantes et les plus provocatrices du théâtre libanais. Le monologue de cette actrice, épouse et mère qui a dépassé la cinquantaine et fait son jogging quotidien pour combattre l’ostéoporose, l’obésité et la dépression, entraîne le spectateur dans les rues de Beyrouth et le plonge dans ses rêves, ses désirs, ses désillusions à travers tous les personnages qu’elle incarne.
Le rituel du jogging quotidien a des effets contradictoires. Sur toile de fond d’une ville qui détruit pour reconstruire et reconstruit pour détruire à nouveau, les deux hormones libérées par l’exercice du sport, la dopamine et l’adrénaline, ont des effets alternativement destructifs et constructifs.
Le texte aux multiples lectures de Hanane Hajj-Ali traite avec la même audace de sujets personnels et politiques.