Artiste visuel diplômé de l’École Supérieure des Beaux-arts d’Alger en 2006 et de l’Ecole supérieure d’art d’Aix-en- Provence en 2017. Oussama Tabti est né en 1988 à Alger, vit et travaille à Marseille. Son intérêt porte sur l’image et ses différents aspects dans l’art en général. En puisant dans ce qu’elle offre aujourd’hui comme alternatives pour l’expression plastique, il essaye dans son travail, de prendre position par rapport aux différents bouleversements et phénomènes qui marquent sa société et le monde dans lequel il vit. Ses travaux qui se situent au croisement de l’esthétique, du social et du culturel, portent ainsi un regard critique sur les questions de l’heure qu’une pratique sûre de différents médias lui permet d’affirmer. Cette attention portée à l’actualité et au réel en général est visible dans la plupart des œuvres proposées dans les différentes expositions auxquelles il a participé notamment à : la BJCEM, Biennale des Jeunes Créateurs d’Europe et de la Méditerranée Skopje 2009 ; FIAC, Festival International d’Art Contemporain d’Alger, Alger, 2012 ; DAK’ART, la Biennale l’art africain contemporain DAK’ART, Dakar 2012 ; Instants vidéo, Marseille 2012 ; Traverse vidéo Toulouse,2013 ; MEDITERRANEA 16 Biennale des jeunes artistes ; Ancône 2013, Orient ’Art Express, Oujda, 2014 ; Water Tower Art Festival, Sofia,2015 ; Nel mezzo del mezzo, Museo Rizo, Palerme, 201 ; Kawkaw, LE 18, Marrakech, 2016, Ni Rome ni vous, La Baignoire, Alger , 2017.
Oussama Tabti est le premier artiste qu'on présente dans le cadre de Moussem Vitrine.
Oussama Tabit au sujet de Shapes, l'oeuvre qu'il présente dans Moussem Vitrine:
Les invisibles est l’une des appellations que l’on donne aux chibanis, ces personnes âgées, anciens travailleurs immigrés venus du Maghreb. Une personne ou un objet devient invisible partir du moment où l’on n’y prête plus attention. Eux vieillissent et meurent, dans une forme de solitude et d’indifférence générale. Depuis que je m’intéresse aux chibanis, je découvre leur présence discrète, j’observe leurs gestes et leurs habitudes. J’ai notamment remarqué leur manière si particulière de s’habiller, à la fois modeste et distinguée. Dans cette installation j’utilise les vêtements et accessoires portés par les chibanis. On les trouve dans certains étalages et vitrines de magasins, autre témoignage de leur si discrète existence.
Artiste visuel diplômé de l’École Supérieure des Beaux-arts d’Alger en 2006 et de l’Ecole supérieure d’art d’Aix-en- Provence en 2017. Oussama Tabti est né en 1988 à Alger, vit et travaille à Marseille. Son intérêt porte sur l’image et ses différents aspects dans l’art en général. En puisant dans ce qu’elle offre aujourd’hui comme alternatives pour l’expression plastique, il essaye dans son travail, de prendre position par rapport aux différents bouleversements et phénomènes qui marquent sa société et le monde dans lequel il vit. Ses travaux qui se situent au croisement de l’esthétique, du social et du culturel, portent ainsi un regard critique sur les questions de l’heure qu’une pratique sûre de différents médias lui permet d’affirmer. Cette attention portée à l’actualité et au réel en général est visible dans la plupart des œuvres proposées dans les différentes expositions auxquelles il a participé notamment à : la BJCEM, Biennale des Jeunes Créateurs d’Europe et de la Méditerranée Skopje 2009 ; FIAC, Festival International d’Art Contemporain d’Alger, Alger, 2012 ; DAK’ART, la Biennale l’art africain contemporain DAK’ART, Dakar 2012 ; Instants vidéo, Marseille 2012 ; Traverse vidéo Toulouse,2013 ; MEDITERRANEA 16 Biennale des jeunes artistes ; Ancône 2013, Orient ’Art Express, Oujda, 2014 ; Water Tower Art Festival, Sofia,2015 ; Nel mezzo del mezzo, Museo Rizo, Palerme, 201 ; Kawkaw, LE 18, Marrakech, 2016, Ni Rome ni vous, La Baignoire, Alger , 2017.
Oussama Tabti est le premier artiste qu'on présente dans le cadre de Moussem Vitrine.
Oussama Tabit au sujet de Shapes, l'oeuvre qu'il présente dans Moussem Vitrine:
Les invisibles est l’une des appellations que l’on donne aux chibanis, ces personnes âgées, anciens travailleurs immigrés venus du Maghreb. Une personne ou un objet devient invisible partir du moment où l’on n’y prête plus attention. Eux vieillissent et meurent, dans une forme de solitude et d’indifférence générale. Depuis que je m’intéresse aux chibanis, je découvre leur présence discrète, j’observe leurs gestes et leurs habitudes. J’ai notamment remarqué leur manière si particulière de s’habiller, à la fois modeste et distinguée. Dans cette installation j’utilise les vêtements et accessoires portés par les chibanis. On les trouve dans certains étalages et vitrines de magasins, autre témoignage de leur si discrète existence.