Depuis des années, Osama Abdulrasol colore la scène des musiques du monde belge et internationale de son jeu magique au quanûn (instrument à cordes pincées joué sur un support ou sur les genoux). Les mélodies de son nouveau CD, Jedid, jettent un pont entre l’Orient et l’Occident. Les racines des compositions d’Osama Abdulrasol se trouvent clairement dans sa ville natale, la vieille Babylone en Irak, mais sont enrichies d’influences du monde entier. Son ensemble, composé du quanûn, du chant, de l’accordéon, du violoncelle et de la percussion, témoigne de ce à quoi l’avenir pourrait ressembler, mais montre aussi comment différents patrimoines, styles et langues peuvent se mêler en un son nouveau.
Osama Abdulrasol qanun – Philippe Thuriot accordéon – François Taillefer percussions – Lode Vercampt violoncelle – Helena Schoeters chant
Depuis des années, Osama Abdulrasol colore la scène des musiques du monde belge et internationale de son jeu magique au quanûn (instrument à cordes pincées joué sur un support ou sur les genoux). Les mélodies de son nouveau CD, Jedid, jettent un pont entre l’Orient et l’Occident. Les racines des compositions d’Osama Abdulrasol se trouvent clairement dans sa ville natale, la vieille Babylone en Irak, mais sont enrichies d’influences du monde entier. Son ensemble, composé du quanûn, du chant, de l’accordéon, du violoncelle et de la percussion, témoigne de ce à quoi l’avenir pourrait ressembler, mais montre aussi comment différents patrimoines, styles et langues peuvent se mêler en un son nouveau.