Tâches élémentaires
Quelle information un artiste désire-t-il échanger avec le spectateur ? Donne-t-il beaucoup ou peu d’informations ? Et que souhaite-t-il atteindre de la sorte : transmettre la signification de l’œuvre ou plutôt rester vague ? Dans son solo, le chorégraphe et danseur Radouan Mriziga joue sans cesse avec la perspective et les attentes du spectateur. Il s’assigne un nombre de tâches élémentaires dont l’exécution lui permet de créer des « formes », mais l’entraîne aussi dans une situation toujours plus complexe.
'55' est la première création du chorégraphe et danseur marocain Radouan Mriziga. Il a étudié la danse au Maroc, en Tunisie, en France et à PARTS. Depuis 2008, il vit et travaille à Bruxelles. Il a dansé, entre autres, dans Half elf zomeravond (Bart Meuleman, Toneelhuis) et Re:Zeitung (Anne Teresa De Keersmaeker). Il est artiste en résidence au centre d’art « nomade » Moussem, dont la mission consiste à réfléchir aux conséquences de la mondialisation sur les nouveaux et anciens flux migratoires.
Concept et performance: Radouan Mriziga
Production: Moussem Centre d'Art Nomade
Co-production: C-mine cc Genk / WP Zimmer
En collaboration de: cc Berchem / Pianofabriek Kunstenwerkplaats / O Espaço do Tempo / STUK Leuven
Tâches élémentaires
Quelle information un artiste désire-t-il échanger avec le spectateur ? Donne-t-il beaucoup ou peu d’informations ? Et que souhaite-t-il atteindre de la sorte : transmettre la signification de l’œuvre ou plutôt rester vague ? Dans son solo, le chorégraphe et danseur Radouan Mriziga joue sans cesse avec la perspective et les attentes du spectateur. Il s’assigne un nombre de tâches élémentaires dont l’exécution lui permet de créer des « formes », mais l’entraîne aussi dans une situation toujours plus complexe.
'55' est la première création du chorégraphe et danseur marocain Radouan Mriziga. Il a étudié la danse au Maroc, en Tunisie, en France et à PARTS. Depuis 2008, il vit et travaille à Bruxelles. Il a dansé, entre autres, dans Half elf zomeravond (Bart Meuleman, Toneelhuis) et Re:Zeitung (Anne Teresa De Keersmaeker). Il est artiste en résidence au centre d’art « nomade » Moussem, dont la mission consiste à réfléchir aux conséquences de la mondialisation sur les nouveaux et anciens flux migratoires.