Dans 3600, une chorégraphie pour quatre danseurs, Mriziga aborde à nouveau la danse de manière architecturale, avec le corps comme instrument central du spectacle. Mriziga : « Dans mon travail, j’analyse la genèse de rituels anciens et contemporains, par exemple le théâtre égyptien et grec. Je porte aussi mon attention sur la définition de l’art dans la culture islamique, où l’art constitue par essence des motifs géométriques d’une précision mathématique. L’artiste y est à la fois artisan, ingénieur, philosophe et concepteur, mais parfois aussi l’exécutant de l’échelle divine. »
Concept et chorégraphie: Radouan Mriziga
Performance de: Maria Ferreira Silva, Maïté Jeannolin, Karl Saks & Radouan Mriziga
Production: Moussem, Centre Nomade des Arts | Co-production Kaaitheater (Bruxelles) Vooruit (Gent) dans le cadre de European Network DNA (Departures and Arrivals) / Co-financé par the Creative Europe Program of the European Union, C-mine (Genk), Tanzquartier Wien (la Vienne), Villa Manin / CSS Teatro (Udine)
En collaboration avec Marrakech Biennale 6 (Marrakech), Alkantara (Lisbon) Short Theatre (Rome), Kunstenwerkplaats Pianofabriek (Bruxelles), WP Zimmer (Antwerpen) Charleroi Danses, Centre Chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Charleroi)
Dans 3600, une chorégraphie pour quatre danseurs, Mriziga aborde à nouveau la danse de manière architecturale, avec le corps comme instrument central du spectacle. Mriziga : « Dans mon travail, j’analyse la genèse de rituels anciens et contemporains, par exemple le théâtre égyptien et grec. Je porte aussi mon attention sur la définition de l’art dans la culture islamique, où l’art constitue par essence des motifs géométriques d’une précision mathématique. L’artiste y est à la fois artisan, ingénieur, philosophe et concepteur, mais parfois aussi l’exécutant de l’échelle divine. »