Sorte de danse sinueuse et déliée, la musique du Anouar Brahem Quartet est faite de mélodies capiteuses, mais aussi de sonorités sombres et de textures telluriques nées de l’alliage inédit de l’oud avec la clarinette basse, la basse et les percussions. Avec l’aide du producteur Manfred Eicher, Anouar Brahem a eu l’idée de réunir pour ce projet le clarinettiste basse allemand Klaus Gesing et le bassiste suédois Björn Meyer. Tous deux partagent avec Anouar Brahem une curiosité sans limites pour une quantité d’expressions musicales différentes. De formation classique, Klaus Gesing s’est énormément impliqué dans le champ des musiques folk d’Europe de l’Est ainsi que dans le jazz, tandis que Björn Meyer, nourri à la musique cubaine, a longtemps joué du flamenco avant de finalement s’engager résolument dans la musique folk suédoise. Enfin, le jeune libanais Khaled Yassine apporte au darbouka une pulsation vitale à cette musique de chambre transculturelle dans laquelle rigueur et liberté, passé et présent se répondent mutuellement. Leur dernier album, « The Astounding Eyes of Rita », rend hommage au poète palestinien Mahmoud Darwish.
oud Anouar Brahem – clarinette, basse Klaus Gesing – basse Björn Meyer – darbouka, bendir Khaled Yassine
Moussem, Flagey, VW Spring Sessions
Sorte de danse sinueuse et déliée, la musique du Anouar Brahem Quartet est faite de mélodies capiteuses, mais aussi de sonorités sombres et de textures telluriques nées de l’alliage inédit de l’oud avec la clarinette basse, la basse et les percussions. Avec l’aide du producteur Manfred Eicher, Anouar Brahem a eu l’idée de réunir pour ce projet le clarinettiste basse allemand Klaus Gesing et le bassiste suédois Björn Meyer. Tous deux partagent avec Anouar Brahem une curiosité sans limites pour une quantité d’expressions musicales différentes. De formation classique, Klaus Gesing s’est énormément impliqué dans le champ des musiques folk d’Europe de l’Est ainsi que dans le jazz, tandis que Björn Meyer, nourri à la musique cubaine, a longtemps joué du flamenco avant de finalement s’engager résolument dans la musique folk suédoise. Enfin, le jeune libanais Khaled Yassine apporte au darbouka une pulsation vitale à cette musique de chambre transculturelle dans laquelle rigueur et liberté, passé et présent se répondent mutuellement. Leur dernier album, « The Astounding Eyes of Rita », rend hommage au poète palestinien Mahmoud Darwish.