Moussem participe depuis plusieurs années à l’affirmation et à la circulation du répertoire théâtral arabe. Avec beaucoup d’intérêt nous avons suivi le résultat des spectacles produits dans le cadre du projet Dramaturgie arabe contemporaine. Ce projet ce met au service de la jeune création, depuis l’écriture jusqu’à la mise en scène. Il met en œuvre un travail de prospection de textes dramaturgiques dans 10 pays arabe auprès de jeunes auteurs, d’accompagnement à la mise en scène et à la production théâtrale auprès de compagnies et enfin de promotion et de diffusion des textes et des spectacles sur l’ensemble du bassin méditerranéen et en Europe.
Trois textes ont été montés au plateau par trois équipes artistiques arabes: Pronto Gaga, de Nidal Quiqa, Bye Bye Gillo, de Taha Adnan et Hello veut dire, de Tarek Basha.
Moussem présente les deux derniers de ces spectacles:
BYE BYE GILLO
Al-Jilali, alias Gillo, est sur le point d’être expulsé de la Belgique vers son Maroc natal. Jeté dans un avion, sous la bonne « escorte » de deux anges gardiens en képi, il nous livre, dans un monologue poignant, des souvenirs d’enfance et le récit de sa vie en Europe. Au gré des tableaux qui se succèdent, il nous embarque dansune odyssée riche en rebondissements, dite sur un ton mêlant à la fois légèreté et gravité,sans la moindre once de misérabilisme ni de manichéisme. Car il s’agit avant tout d’un acte cathartique, salutaire. Gillo n’évoque en effet ses démons que pour s’en affranchir. S’affranchir de sa vie de sans papier et de petit voleur, de son asservissement à Bruxelles par son oncle et l’épouse de ce dernier, de sa grande déception amoureuse, bref de toutes ses épreuves, il n’en sort enfin que plus lucide et plus libre.
HELLO VEUT DIRE
Walid entre dans un café et, probablement pour tuer l’ennui, il commence à provoquer les clients. De façon assez illogique, les événementsl’entraînent à tuer l’un des habitués du café. Walid quitte le lieu en prenant en otage Michelle, la serveuse, après avoir informé la police de son crime. Hello veut dire est une pièce qui semble capturer la façon par laquelle les effets de la guerre et des conflits se répercutent dans la vie des gens ordinaires. Qui est le véritable otage? Walid, Michelle ou les officiers de police ?
Les pièces sont en langue arabe sur-titrées français.
Préventes 8 / 6 € | Sur place 10 / 8 € pour les 2 spectacles.
Bye Bye Gillo
exécuté par Nicola Zreineh, Atta Nasser, Eid Aziz – texte Taha Adnan – mise en scène Bashar Murkus (palestine) – scénographie Rami’arda –régisseur technique Issam Rishmawi – production Al Harah Theater (Beit Jala 2013) financée par l’Union européenne (programme IEVP Bassin Med)
Hello Veut Dire
exécuté par Tarek El Bacha, Alain Saadeh, Daniel Balabane, Sabine Choucair – texte Tarek El Bacha – mise en scène Fouad Yammine (Liban) – régisseur technique Racelleishak – production Shams (Liban 2013) financée par l’Union européenne (programme IEVP Bassin Med)
Moussem participe depuis plusieurs années à l’affirmation et à la circulation du répertoire théâtral arabe. Avec beaucoup d’intérêt nous avons suivi le résultat des spectacles produits dans le cadre du projet Dramaturgie arabe contemporaine. Ce projet ce met au service de la jeune création, depuis l’écriture jusqu’à la mise en scène. Il met en œuvre un travail de prospection de textes dramaturgiques dans 10 pays arabe auprès de jeunes auteurs, d’accompagnement à la mise en scène et à la production théâtrale auprès de compagnies et enfin de promotion et de diffusion des textes et des spectacles sur l’ensemble du bassin méditerranéen et en Europe.
Trois textes ont été montés au plateau par trois équipes artistiques arabes: Pronto Gaga, de Nidal Quiqa, Bye Bye Gillo, de Taha Adnan et Hello veut dire, de Tarek Basha.
Moussem présente les deux derniers de ces spectacles:
BYE BYE GILLO
Al-Jilali, alias Gillo, est sur le point d’être expulsé de la Belgique vers son Maroc natal. Jeté dans un avion, sous la bonne « escorte » de deux anges gardiens en képi, il nous livre, dans un monologue poignant, des souvenirs d’enfance et le récit de sa vie en Europe. Au gré des tableaux qui se succèdent, il nous embarque dansune odyssée riche en rebondissements, dite sur un ton mêlant à la fois légèreté et gravité,sans la moindre once de misérabilisme ni de manichéisme. Car il s’agit avant tout d’un acte cathartique, salutaire. Gillo n’évoque en effet ses démons que pour s’en affranchir. S’affranchir de sa vie de sans papier et de petit voleur, de son asservissement à Bruxelles par son oncle et l’épouse de ce dernier, de sa grande déception amoureuse, bref de toutes ses épreuves, il n’en sort enfin que plus lucide et plus libre.
HELLO VEUT DIRE
Walid entre dans un café et, probablement pour tuer l’ennui, il commence à provoquer les clients. De façon assez illogique, les événementsl’entraînent à tuer l’un des habitués du café. Walid quitte le lieu en prenant en otage Michelle, la serveuse, après avoir informé la police de son crime. Hello veut dire est une pièce qui semble capturer la façon par laquelle les effets de la guerre et des conflits se répercutent dans la vie des gens ordinaires. Qui est le véritable otage? Walid, Michelle ou les officiers de police ?
Les pièces sont en langue arabe sur-titrées français.
Préventes 8 / 6 € | Sur place 10 / 8 € pour les 2 spectacles.