Après la publication du livre et documentaire « Traduit de l’arabe », Moussem organise en collaboration avec ses partenaires européens et deBuren le lundi 14 octobre à Bruxelles le colloque « l’Arabe de service / Do your arab thing ».
Dans le cadre du projet moussem.eu, nous réfléchissons sur les classiques occidentaux par le travail d’artistes d’origine arabe vivant en Europe. Et ceci avec l’objectif de renégocier cet ensemble dynamique de classiques en Europe avec l’apport de ces artistes qui font part intégrale de nos sociétés actuelles.
Par notre travail des dernières années nous avons été confrontés par le constat que le monde (artistique) n’est ouvert pour la contribution de ces artistes que s’ils affirment les stéréotypes et que chaque artiste répond à cette question d’une manière individuelle mais avec un sentiment commun d’emprisonnement dans une identité réductrice.
Zahia Rahmani, responsable du programme "Art et mondialisation" du département des études et de la recherche de l’Institut national d'histoire de l'art à Paris, introduira ce colloque. Après l’intervention de l’historien-artiste Chokri Ben Chikha, suivent des ateliers.
Moussem & deBuren, Re :Orient, Association Kulturanova, Liverpool Arabic Art Festival, Centre Choréographique National Basse-Normandie, Casa Arabe, Compagnie Nacera Belaza
Au soutien de Programme Culture de l'Union européenne & la Communauté flamande
Après la publication du livre et documentaire « Traduit de l’arabe », Moussem organise en collaboration avec ses partenaires européens et deBuren le lundi 14 octobre à Bruxelles le colloque « l’Arabe de service / Do your arab thing ».
Dans le cadre du projet moussem.eu, nous réfléchissons sur les classiques occidentaux par le travail d’artistes d’origine arabe vivant en Europe. Et ceci avec l’objectif de renégocier cet ensemble dynamique de classiques en Europe avec l’apport de ces artistes qui font part intégrale de nos sociétés actuelles.
Par notre travail des dernières années nous avons été confrontés par le constat que le monde (artistique) n’est ouvert pour la contribution de ces artistes que s’ils affirment les stéréotypes et que chaque artiste répond à cette question d’une manière individuelle mais avec un sentiment commun d’emprisonnement dans une identité réductrice.
Zahia Rahmani, responsable du programme "Art et mondialisation" du département des études et de la recherche de l’Institut national d'histoire de l'art à Paris, introduira ce colloque. Après l’intervention de l’historien-artiste Chokri Ben Chikha, suivent des ateliers.